Avant de commencer à raconter ma vie, un petit aperçu du repaire… l’antre du créateur fou, la tour infernale à plus d’un titre (bruit, conso électrique, poussière – et encore, j’fais gaffe ! – et autres joyeusetés…)

En haut : ma bonne « vieille » DiscoEasy 200 de Dagoma, qui m’accompagne depuis fin 2017 dans mes élucubrations créatrices. Depuis pas longtemps, je dessine même mes pièces en 3D par moi-même, avec FreeCAD (on y reviendra à l’occasion…). Le tout dans son caisson (celui vendu par Dagoma, le faire moi-même aurait coûté à peu près aussi cher, les galères de découpe du plexi en plus…), ce qui lui évite de prendre la poussière, et permet un semblant de stabilisation de la température ambiante dans la zone d’impression, ce qui est ici un plus, vu que le plateau n’est pas chauffant…
En bas : la CNC 3018 Pro, en direct de chez… Amazon. La version « Pro » est simplement une évolution du châssis de la 3018, où les pièces sont en bakelite plutôt qu’en alu, ce qui fait que les tubes de courses sont prépositionnés et parfaitement parallèles à la tige filetée, que ce soit sur l’axe X comme le Y. Pas compris ? Pas grave, on y reviendra aussi lors de la présentation en détails du machin.
Pour l’instant, quelques (10) fraises de 0.8 à 3.175mm, des pointes coniques de 10° et 0.1mm (10 aussi), et quelques forêts à tête ronde (… une boite de 10, tiens ?!), c’est tout ce que j’ai sous la main. Et pour ce que j’en fais, ça me suffit actuellement.